Résumé Module 2
Les trucs et astuces des neurosciences
Votre cerveau vous manipule! Il vous fait prendre des situations anodines pour des situations de danger ou d’urgence. A vous de la manipuler en retour pour en reprendre le contrôle et le faire revenir dans une zone verte, d’imposer votre réalité des choses. Voici les trucs et astuces les plus simples et efficaces pour se faire. Nous les avons à priori vus ensemble lors de notre dernier RDV.
Je vous encourage à relire ces quelques lignes ainsi qu’à voir les vidéos les plus parlantes des experts qui ont développé ces approches. Nous avons ensemble défini un mode d’expérimentation pour que vous puissiez appliquer plusieurs de ces « trucs et astuces », petits mais puissants au quotidien.
Voici donc le deuxième (avec le journal de stress) outil indispensable à votre progression vers la zénitude: le cahier de suivi (ci-joint)! Je vous laisse le découvrir et…
Yapluka!!
Les gratitudes au quotidien
Lorsque l’on est en état de gratitude, on ne peut plus être en colère.
On remarque enfin ce que la vie nous a apporté et on peut sortir de la frustration. C’est un des petits pas qui permettent de sortir du cercle vicieux pour entrer dans le cercle vertueux.
Les religions l’avaient compris. Toutefois, l’application donnait souvent plus de l’atermoiement, de l’humilité écrasante que d’une vraie gratitude qui fait rayonner le Coeur. Je vous propose un simple sentiment de reconnaissance envers la Vie, certains diront l’Univers. Bien entendu, si vous croyez en Dieu, vous pouvez lui aussi le remercier. Attention toutefois à cette image de Dieu tutélaire qui donne et qui reprend. Aucune notion non plus de mérite. Considérez simplement que Dieu est Amour, et remerciez le, simplement, avec toute la vibration du Coeur.
Florence Servan Schreiber a grandement étudié ce pouvoir de la Gratitude et vous l’explique ici de façon claire et illustrée. Ne ratez pas le moment où elle explique que cette « technique » peut faire gagner jusqu’à 7 ans d’espérance de vie! 🙂
Pratiquez la gratitude
Je vous encourage, tous les soirs, à expérimenter la gratitude. Par exemple, prenez cinq minutes, tous les soirs, avant l’endormissement pour vous remémorer 3 moments de votre journée qui vous ont été agréables. Ils peuvent être magnifiques comme tout à fait simple. Par exemple, un rayon de soleil pendant le café, le champs d’un oiseau… au fur et à mesure que cette habitude s’encrera, le nombre d’événements augmentera « curieusement » et vous serez en mesure de ressentir de la gratitude au moment même où vous vivrez l’événement. Vous serez enfin en mesure de vous arrêter et de goûter la joie tout au long du chemin 🙂
Yapluka!!
L'impact des couleurs
-Dans la politique du moindre effort, je vous propose de simplement rajouter des couleurs à votre vie. Certain-es sont déjà adeptes, d’autres me diront préférer le noir… très joli le noir, très simple aussi à accorder… sauf que…
L’impact n’est pas moindre. Que ce soit les vêtements que l’on porte ou bien les couleurs de son habitat, de petites touches colorées pourront contribuer joyeusement au cercle vertueux que vous instituez actuellement.
Ainsi:
– le blanc unique, les couleurs grises ou noires sont à proscrire pour ce qui est de l’espace de travail et de celui de l’habitation.
– si l’on a tendance à déprimer, vite une touche de rose. Ne dit-on pas « voir la vie en rose »? Ce n’est pas qu’une expression!
– besoin d’être dynamique, de se sentir puissant et que les autres nous ressentent comme tel? Une touche de rouge peut faire toute la différence.
– à contrario, la profondeur du bleu amène calme et sérénité.
Les as du marketing l’ont compris avant nous et manipulent nos choix d’achat en utilisant l’impact de ces vibrations sur notre cerveau.
La chroma-thérapie est une des nombreuses thérapies holistiques qui influe sur les maux du corps et de l’esprit au moyen de diapositives colorées qu’il superpose à certaines zones du corps. J’ai reçu moi même quelques témoignages de la puissance de cette approche.
La médecine chinoise quand à elle indique que chacune des couleurs nourrit un des organes énergétiques. Pout bien nourrir chacun des organes, varier les couleurs ou les associer! Le Feng Shui va plus loin dans la maîtrise de cet art d’utiliser les couleurs. Le rouge pour être tonique et conquérant (énergie du Coeur), le bleu profond pour le calme et le repos (énergie des Reins), le vert pour la créativité (énergie du Foie)… à répartir en fonction du rôle des pièces et de comment on veut orienter sa vie.
Ci-dessous, une conférence brève du sociologue Jean-Gabriel Causse. Vous ne regarderez plus votre ceinture, vos chaussures (voire vos chaussettes) de la même façon 🙂
Colorez votre quotidien
Si vous êtes concerné par un certain manque de couleurs dans votre quotidien, trouvez les opportunités de rajouter des petites touches vives à votre palette, sortez vos fouloirs des armoires, les boucles d’oreilles perroquet et cravates qui trancheront!
Yapluka!!
Infos et réseaux sociaux
Nous sommes dans un monde hyper connecté… et un monde très angoissant. Les informations sont rarement bonnes, surtout du fait que les bonnes nouvelles ne font pas vendre. Ainsi, la plupart des informations que vous absorbez seront sujet de stress et d’angoisse, même si les impacts réels à terme dans votre vie sont peu probable. Souvenez-vous, lors du 11 septembre, nous avons eu peur d’une guerre mondiale orient/occident? Que s’est-il passé pour les occidentaux chanceux que nous sommes? Rien. La guerre en Ukraine? Pénurie de moutarde. Nous pouvons tout à fait nous sentir désolés pour nos semblables qui habitent là-bas, sous les bombes, ainsi que ceux de la bande de Gaza qui souffrent ou toute autre population. Cela ne les aide pas pour autant. Notre cerveau est cablé pour nous mettre à l’abris, ainsi, chaque mauvaise nouvelle sera augmentée pour essayer d’en tirer une anticipation du danger. Les informations dont nous sommes abreuvées ne servent pas en ce sens. Notre stress nous conduit simplement à consommer plus et à avoir des actions plus sécuritaires au moment de choisir ceux qui agissent en notre nom.
Quel est le véritable danger, le plus imminent pour vous? Votre stress, votre anxiété. C’est lui/elle qui vous ronge un peu tous les jours et raccourcit largement votre vie. Si nous souhaitons aller du côté de l’action la plus efficace, celle qui amène un véritable bienfait, je vous recommande fortement d’éteindre de votre télévision, surtout à l’heure des informations. La violence de l’impact du visuel est délétère. Les images choisies sont forcément partie pris et chercheront à vous bouleverser. Ce sont leur but. Vous n’avez aucun rempart contre cet impact hormis l’évitement. D’autant plus si vous êtes un tant soit peu empate.
« Ah, mais il faut bien se tenir informé »… Il faut? Pourquoi, pour qui? Qu’est-ce que ça m’apporte concrètement, hormis peut-être satisfaire une certaine curiosité? D’une part, sachez que « les gens heureux n’ont pas d’histoire », ainsi, il n’y a rien à raconter quand tout va bien. Vous tenir informé-e est donc vous « tenir informé-e des mauvaises nouvelles uniquement ». Gardez cela en tête afin de bien relativisez toute nouvelle qui vous parviendra. Car il vous parviendra des nouvelles. Même en éteignant votre télévision et votre radio vous serez toujours informé d’une façon ou d’une autre par votre boulangère, votre voisin ou toute autre personne rencontrée.
Si vraiment vous tenez à resté connecté, 10 minutes d’information par jour suffiront, et pour cela je recommande la radio (on évite ainsi l’impact visuel) ou les journaux dont vous choisirez avec soin l’orientation. Pour ma part, je choisis même une information à caractère satirique, pour rire des mauvaises nouvelles avec philosophie.
A proscrire (pas de négociation possible):
– les informations dès le matin, au réveil. Comment vouloir passez la journée sereinement si dès que l’on ouvre un oeil on nous abreuve de mauvaises nouvelles?
– les informations en mangeant. Déjà, pour votre système digestif, digérer des informations en même temps que des aliments fait faire beaucoup trop d’effort. La médecine chinoise recommande dont instamment d’éviter les sources de divertissement pendant que l’on mange. Profitez plutôt de ce que vous mangez, et/ou de la bonne compagnie des gens qui vous entourent. Ensuite il est important d’être serein lorsque l’on mange, pour favoriser la digestion et donc l’énergie dont on tirera de notre repas.
– les informations avant de s’endormir ou lors d’insomnies. La télévision, même si elle tient compagnie ne permet pas un endormissement favorable au sommeil réparateur. Mais si en plus vous impactez votre cerveau avec des informations angoissantes…
Faites le point
Je vous propose dans les prochains temps de rester de faire le point sur les différentes formes d’information que vous choisissez au quotidien. Si votre usage comporte l’une des restrictions que j’ai cité, vous pouvez décider dès à présent de proscrire dorénavant cette source dans votre quotidien. Réfléchissez sur chacune des autres habitudes que vous avez dans le domaine et changez les!
Yapluka!!
Les amis toxiques, le contexte familial et social
Les amis toxiques:
Qu’est-ce qu’un ami/une amie toxique? Très simple, comment vous sentez-vous après avoir passé du temps avec cette personne? Emotionellement et physiquement? En amitié, la réponse ne devrait jamais être négative. Nous avons tous des amis en difficultés. Une personne bien, qui ne mérite pas ce qui lui arrive. Ainsi, on essaie de l’aider, ne serait-ce qu’en écoutant ses malheurs. Pourtant, des années après, la situation n’a pas changée. Il est peut-être temps pour vous de dépensez votre énergie de manière plus positive. Si vous continuez toutefois à souhaiter entretenir cette relation qui ne semble rien vous apporter, identifiez bien quelle est la monnaie d’échange? Soulager une culpabilité parce que vous ressentez de la pitié n’est ni positif pour vous ni pour la personne que vous souhaitez aider. Si vous éprouvez de la pitié, vous la maintenez malgré vous dans une situation d’infériorité. Et attention aux manipulateurs qui ne demandent que cela, que l’on les plaigne, trouver des excuses pour le marasme dans lequel ils se retrouvent toujours. C’est la façon qu’ils ont apprise d’attirer l’attention et une forme d’affection. Si vous continuez à les nourrir en ce sens, n’étant jamais en manque ils ne remettront jamais en question ce type d’alimentation effective toxique et n’iront jamais chercher ailleurs une meilleure nourriture. Ainsi, un seul conseil: Ecoutez-vous!! Allez vers ce qui vous fait du bien!! Cette sensation valide que la situation est correcte pour vous, et donc correcte pour l’autre également (grand principe des Arts Martiaux: en vous remettant dans votre Centre, vous permettrez à l’autre de pouvoir en faire de même).
Le contexte social:
Difficile de ne pas rentrer dans les atermoiements avec votre boulangère, vos collègues de travail ou votre voisin. Ce qui rapproche les individus entre eux est le fait d’être « d’accord ». Il s’ensuite alors une immédiate sympathie. Faites l’essai à un arrêt de bus. Vous attendez, côte à côte avec des inconnus. Si le bus est en retard, une conversation naitra, et immédiatement une forme de sympathie naitra au détriment de la compagnie du bus. Pour s’unir, il est bien plus simple de se trouver un ennemi commun. Ainsi naissent les discussions de comptoir, dans le taxi ou autre… par l’expression de sentiment négatif, par la perception négative du monde qui nous entoure. Méfiez-vous de ce type d’interaction. Elle donnera rarement lieu à autre chose de plus productif ou profond, hormis la courte sensation de sympathie expérimentée sur le moment. Et vous aurez payé cette sensation en vous mettant dans un état d’esprit négatif et plaintif, centré sur la négativité qui vous entoure et le sentiment d’impuissance.
Je vous propose dans les prochains temps d’identifier ce type de discussion et de vous éloignez lorsqu’elle ont lieu autour de vous. Si vous ne le pouvez pas physiquement, répondez par un gentil sourire, sans pour autant sur enchérir, et laissez de côté toutes les raisons que votre interlocuteur aura de se plaindre. Ecoutez distraitement et pensez simplement que cette personne ne doit pas être très épanouie pour perdre autant de temps à se plaindre.
Le contexte familial:
Là est le véritable challenge. On peut s’éloigner des amis, répondre à notre interlocuteur par une esquive, on ne peut pas le faire de même avec la famille. Les relations sont trop complexes, et pour la partie de la famille qui constitue notre foyer, il faut bien parvenir à vivre avec et à « s’entendre ». Quelques recommandation toutefois. Même si on se doit une certaine solidarité ou soutien, on est plus utile à un proche en restant du côté des gens qui vont bien plutôt qu’en basculant avec lui dans son malheur. Comme il est préférable d’aider une personne qui se noie en restant sur la berge pour lui envoyer une bouée ou lui tendre la main plutôt que de se jeter à l’eau avec elle. Ainsi, on peut être désolée lorsque notre proche ne va pas bien et se sentir un peu triste pour lui ou pour elle. Faisons lui confiance qu’il ou elle va se sortir de cette mauvaise passe. S’inquiéter outre mesure signifie que l’on a pas confiance en ces ressources. Toute situation n’est que temporaire puisque près la pluie le beau temps. Et toute problématique, toute souffrance est simplement une occasion d’apprendre et d’évoluer. Faites confiance, soutenez sans vous substituer. Restez intègre, restez vous. C’est ce qui vous permettra d’aider la personne lorsqu’elle aura identifiez ce dont elle a besoin, lorsqu’elle sera dans la phase active de sortie de l’ornière.
La seule limite à cette recommandation est bien sûre la maladie grave. Dans ce cas, faites vous soutenir également. La souffrance des aidants est rarement prise en compte, on se concentre sur la personne malade. Groupes de parole ou thérapeute professionnel, si vous souhaitez être là efficacement pour la personne dans l’épreuve, faites vous vous même soutenir en exprimant ce que vous vivez. Vous avez le droit de vous plaindre et de trouver que c’est dur. Vous avez le devoir de le faire. C’est comme cela que vous serez plus fort-e pour celle ou celui qui en a besoin.
Ecoutez-vous!
Je vous propose dans les prochains temps de rester attentif-ive à vos relations et à vos ressentis pendant et après l’interaction de vos proches… en vue de prise de décision concernant votre entourage. Je ne parle pas de rupture mais éventuellement d’éloignement temporaire. Vous verrez après le programme ce que vous souhaitez faire avec l’une ou l’autre de ces relations.
Yapluka!!
La posture physique
Ma recommandation préférée tellement elle est contre-intuitive et simple d’application!!
Nous savons sans doutes tous-tes que lorsque l’on ne va pas bien, on aura tendance à avoir une posture physique (et psychologique) fermée. Après un dur choc, lorsque l’on se sent abattu-e, il est souvent réconfortant de prendre la position foetale, couché, les jambes repliées, en boule. Protection maximale. A l’inverse, lorsque l’on se sent confiant-e, sûr-e de soit, le corps est droit, le menton relevé, les épaules relâchées, le regard droit devant.
Savez-vous aussi que l’inverse est vrai? Que la posture peut déterminer notre émotions? Si vous vous sentez peu confiant-e, prenez une pose de victoire. Les jambes campées, légèrement écartées, le buste droit, les yeux au loin, les mains sur les hanches, làààààà, respirez profondément (par le bas-ventre si possible)… et restez dans la position 5 minutes. C’est ce que l’on appelle la Posture du Superman. Imaginez la cape derrière vous qui flotte au vent pendant que vous regardez la ville au loin sur laquelle vous veillez. Allez-y, faites le maintenant. Relisez ces quelques lignes, levez-vous et prenez la Posture de Superman (ou Superwoman, mais nous avons moins d’images associées). Ah, et pensez sourire 🙂
Alors, comment vous sentez-vous?
Les neurosciences ont prouvées que la Posture du Superman permettait de mieux réussir une épreuve, comme un entretien par exemple. La personne était alors plus sûre d’elle et donc jugée plus compétente par les interviewers.
Cela fonctionne pour toute posture « de Pouvoir ». Ainsi, mesdames, décroisez les jambes, évitez les mains superposées sur les genoux, écartes les bras, prenez de l’espace. C’est ce que l’on appelle le « Manspreading », la posture masculine autant physique que psychologique. Rien d’un discours féministe ici, c’est simplement que le caractère Yang aura plutôt tendance à s’épandre, à prendre de la place, à s’exprimer plus… et ainsi à renforcer la confiance en lui et à donner aux autres l’image d’une personne plus « fiable ». Rien à voir avec une quelconque valeur intrinsèque… c’est du Marketing 🙂 la forme qui est privilégiée au fond;). Changez le packaging, vous changerez toute la valeur perçue!
Au-delà de ce parallèle malencontreux, imaginez vous simplement l’impact que peut avoir le temps que nous passons sur notre téléphone portable, la tête rentrée dans les épaules et le regard vers le bas.
Pour poursuivre, je vous recommande cette conférence TedX, l’une des plus vues et l’une de celles qui m’a le plus bouleversée. Chercheuse en psychologie, elle vous explique comment elle a découvert et pu prouver la rétroactivité neuronale et l’efficacité de la Posture de Pouvoir. A voir absolument
Observez-vous!
Je vous encourage dès à présent à prendre une posture de pouvoir. Prenez conscience plusieurs fois, au cours de la journée, de votre posture et modifiez là (si nécessaire). N’hésitez pas à
– mettre les pieds sur le bureau pour lire un document,
– mettre les bras de chaque côté du dossier sur le canapé,
– à camper sur vos jambes en attendant le bus ou à la caisse du supermarché,
– à vous faire une pause « Posture du Superman », particulièrement avant une rencontre importante.
Notez dans fiche de suivi le nombre de fois où vous avez conscientisé votre posture dans la journée. Au début, on oublie bientôt, on en prend l’habitude, et très vite, cela devient naturel.
Yapluka!!
Fake It until you make It et le pouvoir de l'imitation
Tout à dans la lignée de la Posture de pouvoir, le processus d’imitation consiste à changer son attitude physique pour transformer son émotionnel, voire son identité.
Déterminez LA personne que vous souhaiteriez être, devenir, celle qui serait un modèle pour vous, que ce soit dans votre entourage ou un personnage célèbre. Vous pouvez imiter votre grand-mère. Ou prenez vous pour Nelson Mandela ou Soeur Emmanuelle (qui avait son franc parler ;), ou Gandhi, voir Annie Cordie si vous souhaitez irradier la joie de vivre;D. Trouvez des images d’archives ou lisez leurs écrits si ce sont des personnes disparues. Imitez leur façon de se comporter, de marcher, leur phrasé, comment ils posent la voix, les expressions de leur visage. Sentez-vous eux. Vivez leurs émotions et épousez leurs croyances. Bientôt, vos attitudes vous mèneront sur leurs pas (parfois un peu loin en arrière… Disons sur leurs traces. Si c’est la direction que vous avez choisie, elle vous mènera vers la même destination.
Pour en savoir plus, je vous invite à découvrir les techniques de PNL, Programmation Neuro Linguistique. L’un des livres les plus inspirant sur le sujet:
Pouvoirs Illimités de Anthony Robbins (existe aussi en audiobook 😉
Transcendez-vous!
Prenez quelques instant pour trouver les 3 personnes, vivantes ou mortes, célèbres ou connues dans un cercle restreint qui vous inspirent, auxquelles vous aimeriez ressembler. Notez les dans votre cahier. Vous pouvez même dès à présent trouver des photos de ces personnes et les mettre dans un endroit où vous les verrez régulièrement. Consacrez encore quelques instants à vous imaginez ce que il ou elle a ressenti lorsqu’il-elle a vécu certains événements marquant. Quelle était sa posture, son émotion, comment était les traits de son visage. Pendant les prochains temps, amusez vous à vous imaginer régulièrement que vous êtes lui/elle. Reliez vous à son énergie, et regardez-vous agir.
Yapluka!!